
La Cour de cassation a récemment déclaré que les enregistrements audio ou vidéo d’entretiens entre les parties, réalisés sans consentement préalable et qualifiés d’illicites ou déloyaux, peuvent désormais être considérés comme recevables comme moyen de preuve sous certaines conditions, ce qui peut entraîner une augmentation des enregistrements clandestins dans le contexte professionnel.